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184 : Philosophie de Platon |
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Le Banquet / PLATON
Titre : Le Banquet Type de document : texte imprimé Auteurs : PLATON, Auteur Editeur : FOLIO Collection : Folio Essais Importance : 183 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-032455-2 Langues : Français (fre) Catégories : Sciences humaines:Philosophie Mots-clés : essai vin socrate grec ancien beauté dialogues philosophie antique philosophie grecque amour antiquité grèce antique philosophie grèce littérature grecque littérature gréco-romaine antique littérature antique platon Index. décimale : 184 Philosophie de Platon Résumé : Le Banquet se situe comme dialogue intermédiaire (entre les dialogues «socratiques» et les grands textes pédagogiques) non seulement dans sa forme, mais dans son contenu. De même que le Phédon, il indique qu'à côté de la formation proprement intellectuelle, il y a une initiation fondée sur des expériences privilégiées : le sentiment de la mort, le sentiment de l'amour. Ce que la philosophie montre alors, c'est qu'il faut savoir interpréter ce donné affectif ; Éros, fils de Pauvreté et d'Expédient, est, de la sorte, comme la réplique sensible du désir de Sagesse-Savoir : il est philosophe. Le Banquet [texte imprimé] / PLATON, Auteur . - FRANCE : FOLIO, [s.d.] . - 183 pages. - (Folio Essais) .
ISBN : 978-2-07-032455-2
Langues : Français (fre)
Catégories : Sciences humaines:Philosophie Mots-clés : essai vin socrate grec ancien beauté dialogues philosophie antique philosophie grecque amour antiquité grèce antique philosophie grèce littérature grecque littérature gréco-romaine antique littérature antique platon Index. décimale : 184 Philosophie de Platon Résumé : Le Banquet se situe comme dialogue intermédiaire (entre les dialogues «socratiques» et les grands textes pédagogiques) non seulement dans sa forme, mais dans son contenu. De même que le Phédon, il indique qu'à côté de la formation proprement intellectuelle, il y a une initiation fondée sur des expériences privilégiées : le sentiment de la mort, le sentiment de l'amour. Ce que la philosophie montre alors, c'est qu'il faut savoir interpréter ce donné affectif ; Éros, fils de Pauvreté et d'Expédient, est, de la sorte, comme la réplique sensible du désir de Sagesse-Savoir : il est philosophe. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 2581 184 PLA Livre CDI Lycée Maurice Delafosse Indéterminé Disponible Gorgias / PLATON
Titre : Gorgias Type de document : texte imprimé Auteurs : PLATON, Auteur Editeur : Le livre de poche Collection : Les Classiques de la PHILOSOPHIE Importance : 338 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-06727-6 Langues : Français (fre) Catégories : Essai
Sciences humaines:Philosophie:Philosophie antiqueMots-clés : entretiens roman essai classique dépression discours rhétorique dialogues platon réflexions philosophe essai philosophique politique antiquité grèce antique philosophie grec grèce littérature grecque littérature antique antique Index. décimale : 184 Philosophie de Platon Résumé : Il est loisible de parcourir le Gorgias en y voyant alterner deux thèmes d'école, l'éloquence et le bonheur. Mais ce fil conducteur ne guide qu'un parcours scolastique. Il reste ténu, et finalement vain, parmi le flot, à même la force du drame. Chaque personnage de ce dialogue incarne une volonté de puissance. Socrate part de l'ambition de l'orateur Gorgias : bienveillante, neutre, paterne, force de la parole, elle pourrait être assimilée aux prétentions d'humanisme des médias, aujourd'hui. Socrate débusque ensuite chez Polos l'emprise de l'Image, le besoin d'admirations ou de modèles qui introduisent au rêve éveillé ; pour finir, il oblige Calliclès à sortir son Mein Kampf. C'est pourtant Gorgias, l'ami approximatif de la justice, le politique léger, qui survit tel un fantôme dangereux, courant le monde sans être repéré. C'est chez lui que certains de ses disciples cultivent innocemment la ciguë que Socrate devra boire. Bien que dans le Gorgias Socrate ne cherche pas à vaincre mais à convaincre, le dialogue tourne court et s'éteint en monologue, quitte pour Socrate à l'illuminer d'une implosion merveilleuse. S'il appelle déjà les hommes politiques à l'héroïsme, ce livre mordant est aussi une réflexion sur les difficiles héritages moraux. Ceux qui ne philosophent pas volontiers chaque soir, de huit à dix, y trouveront à penser, avec effroi et bonheur.J.C.
Traduction nouvelle, notes et commentaires de Jacques Cazeaux.Gorgias [texte imprimé] / PLATON, Auteur . - FRANCE : Le livre de poche, [s.d.] . - 338 pages. - (Les Classiques de la PHILOSOPHIE) .
ISBN : 978-2-253-06727-6
Langues : Français (fre)
Catégories : Essai
Sciences humaines:Philosophie:Philosophie antiqueMots-clés : entretiens roman essai classique dépression discours rhétorique dialogues platon réflexions philosophe essai philosophique politique antiquité grèce antique philosophie grec grèce littérature grecque littérature antique antique Index. décimale : 184 Philosophie de Platon Résumé : Il est loisible de parcourir le Gorgias en y voyant alterner deux thèmes d'école, l'éloquence et le bonheur. Mais ce fil conducteur ne guide qu'un parcours scolastique. Il reste ténu, et finalement vain, parmi le flot, à même la force du drame. Chaque personnage de ce dialogue incarne une volonté de puissance. Socrate part de l'ambition de l'orateur Gorgias : bienveillante, neutre, paterne, force de la parole, elle pourrait être assimilée aux prétentions d'humanisme des médias, aujourd'hui. Socrate débusque ensuite chez Polos l'emprise de l'Image, le besoin d'admirations ou de modèles qui introduisent au rêve éveillé ; pour finir, il oblige Calliclès à sortir son Mein Kampf. C'est pourtant Gorgias, l'ami approximatif de la justice, le politique léger, qui survit tel un fantôme dangereux, courant le monde sans être repéré. C'est chez lui que certains de ses disciples cultivent innocemment la ciguë que Socrate devra boire. Bien que dans le Gorgias Socrate ne cherche pas à vaincre mais à convaincre, le dialogue tourne court et s'éteint en monologue, quitte pour Socrate à l'illuminer d'une implosion merveilleuse. S'il appelle déjà les hommes politiques à l'héroïsme, ce livre mordant est aussi une réflexion sur les difficiles héritages moraux. Ceux qui ne philosophent pas volontiers chaque soir, de huit à dix, y trouveront à penser, avec effroi et bonheur.J.C.
Traduction nouvelle, notes et commentaires de Jacques Cazeaux.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3690 184 PLA Livre CDI Lycée Maurice Delafosse Essais Disponible Ménon / PLATON
Titre : Ménon Type de document : texte imprimé Auteurs : PLATON, Auteur Editeur : Le livre de poche Collection : Les Classiques de la PHILOSOPHIE Importance : 314 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-253-06736-8 Langues : Français (fre) Catégories : Essai
Sciences humaines:Philosophie:Philosophie antiqueMots-clés : essai classique sagesse croyances platon dialogues grec ancien socrate théorie philosophe textes philosophiques philosophie grecque philosophie antique antiquité grèce antique philosophie grec grèce littérature grecque littérature antique Index. décimale : 184 Philosophie de Platon Résumé : Oui, je vous écoute, oui... Et finalement, non ! Cette volte-face coupe en deux le dialogue. C'est une sorte de gifle, dont le chevalier thessalien. Ménon, frappe Socrate. Elle annule presque le dialogue amorcé. En Sicile, Platon amorça plusieurs fois un dialogue, vécu et non écrit, avec le tyran Denys, dans l'espoir de fonder une cité de paix, mais en terre vierge, loin d'Athènes. En vain, comme ici. Alors, Platon écrit, pour les lointains, pour nous, derrière sa Ville. Pour elle, c'est-à-dire finalement contre elle, d'abord, cette cité bavarde et prétentieuse, cette Athènes que Socrate, son maître, n'a pas quittée, quand il pouvait encore échapper à la mort : il boirait la ciguë lorsque le gréement du vaisseau mystique d'Apollon à Délos se découperait sur l'horizon. Socrate a dit oui à la mort. La mort ? - Finalement, non, redit Platon. Elle est la vie, ouvrant nos yeux sur les constellations que l'étrange Tirésias déchiffre avec bonheur, tranquillement assis aux Enfers - telle est la dernière image du Ménon. Le chevalier Ménon croit vivre, lui. Il vise l'excellence, mais à la façon du tyran. Socrate lui fait alors donner deux leçons : par un esclave, ô honte, une leçon de soumission au vrai, soumission qui est l'avenue royale de l'excellence ; en sens contraire, une leçon d'orgueil : un démocrate et un parvenu, Anytos, idolâtre, ô surprise, les grands hommes d'Athènes, oublieux qu'il est de la mémoire de soi, secret divin de l'excellence. C'est cet Anytos qui obtiendra la condamnation de Socrate. Le Ménon est un rude exercice de patience intérieure. On n'y parle point directement du Bien, de la Justice. C'est que la résistance d'Athènes à la philosophie incite Platon à lui désigner encore le soleil, mais comme à travers un vitrage dépoli. Ménon [texte imprimé] / PLATON, Auteur . - FRANCE : Le livre de poche, [s.d.] . - 314 pages. - (Les Classiques de la PHILOSOPHIE) .
ISBN : 978-2-253-06736-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Essai
Sciences humaines:Philosophie:Philosophie antiqueMots-clés : essai classique sagesse croyances platon dialogues grec ancien socrate théorie philosophe textes philosophiques philosophie grecque philosophie antique antiquité grèce antique philosophie grec grèce littérature grecque littérature antique Index. décimale : 184 Philosophie de Platon Résumé : Oui, je vous écoute, oui... Et finalement, non ! Cette volte-face coupe en deux le dialogue. C'est une sorte de gifle, dont le chevalier thessalien. Ménon, frappe Socrate. Elle annule presque le dialogue amorcé. En Sicile, Platon amorça plusieurs fois un dialogue, vécu et non écrit, avec le tyran Denys, dans l'espoir de fonder une cité de paix, mais en terre vierge, loin d'Athènes. En vain, comme ici. Alors, Platon écrit, pour les lointains, pour nous, derrière sa Ville. Pour elle, c'est-à-dire finalement contre elle, d'abord, cette cité bavarde et prétentieuse, cette Athènes que Socrate, son maître, n'a pas quittée, quand il pouvait encore échapper à la mort : il boirait la ciguë lorsque le gréement du vaisseau mystique d'Apollon à Délos se découperait sur l'horizon. Socrate a dit oui à la mort. La mort ? - Finalement, non, redit Platon. Elle est la vie, ouvrant nos yeux sur les constellations que l'étrange Tirésias déchiffre avec bonheur, tranquillement assis aux Enfers - telle est la dernière image du Ménon. Le chevalier Ménon croit vivre, lui. Il vise l'excellence, mais à la façon du tyran. Socrate lui fait alors donner deux leçons : par un esclave, ô honte, une leçon de soumission au vrai, soumission qui est l'avenue royale de l'excellence ; en sens contraire, une leçon d'orgueil : un démocrate et un parvenu, Anytos, idolâtre, ô surprise, les grands hommes d'Athènes, oublieux qu'il est de la mémoire de soi, secret divin de l'excellence. C'est cet Anytos qui obtiendra la condamnation de Socrate. Le Ménon est un rude exercice de patience intérieure. On n'y parle point directement du Bien, de la Justice. C'est que la résistance d'Athènes à la philosophie incite Platon à lui désigner encore le soleil, mais comme à travers un vitrage dépoli. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3700 184 PLA Livre CDI Lycée Maurice Delafosse Essais Disponible La République / PLATON
Titre : La République Type de document : texte imprimé Auteurs : PLATON, Auteur Editeur : FOLIO Collection : Folio Essais Importance : 550 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-032804-8 Langues : Français (fre) Catégories : Essai
Sciences humaines
Sciences humaines:Philosophie:Philosophie antiqueMots-clés : essai classique utopie mythes platon littérature ancienne dialogues philosophe philosophie politique philosophie grecque philosophie antique politique grèce antique antiquité philosophie grec grèce littérature grecque littérature antique Index. décimale : 184 Philosophie de Platon Résumé : «Si j'ai désiré, après tant d'autres, traduire en français La République, c'est d'abord pour avoir pensé qu'il était possible de faire mieux que ce qui avait été fait avant moi : de se tenir plus près du texte grec, de l'articulation de ses phrases, de son économie dans le choix des mots, de sa souplesse, de la variété des tons qu'il prête aux participants du dialogue que rapporte Socrate ; mais c'est aussi, et peut-être surtout, par désir de m'approcher le plus possible de ce texte, l'un des plus beaux du patrimoine littéraire, en me soumettant à la nécessité de le lire et relire, puis d'écrire des mots, des expressions, des phrases dignes de le représenter, de se substituer à lui.
J'ai voulu faire lire ce dialogue, en considérant qu'il s'adressait au public le plus large, qu'il n'était pas d'abord une œuvre de philosophie, puisque justement la philosophie, dans ce texte, doit faire valoir son utilité, se distinguer de ses contrefaçons ou de ses formes dégradées, chercher sa définition, mais que c'était un livre par lequel un esprit exceptionnel a cherché à capter l'attention, à stimuler l'imagination, à faire penser. Faire penser qui ? Un lecteur indéterminé, et non un philosophe professionnel.»
Pierre Pachet.La République [texte imprimé] / PLATON, Auteur . - FRANCE : FOLIO, [s.d.] . - 550 pages. - (Folio Essais) .
ISBN : 978-2-07-032804-8
Langues : Français (fre)
Catégories : Essai
Sciences humaines
Sciences humaines:Philosophie:Philosophie antiqueMots-clés : essai classique utopie mythes platon littérature ancienne dialogues philosophe philosophie politique philosophie grecque philosophie antique politique grèce antique antiquité philosophie grec grèce littérature grecque littérature antique Index. décimale : 184 Philosophie de Platon Résumé : «Si j'ai désiré, après tant d'autres, traduire en français La République, c'est d'abord pour avoir pensé qu'il était possible de faire mieux que ce qui avait été fait avant moi : de se tenir plus près du texte grec, de l'articulation de ses phrases, de son économie dans le choix des mots, de sa souplesse, de la variété des tons qu'il prête aux participants du dialogue que rapporte Socrate ; mais c'est aussi, et peut-être surtout, par désir de m'approcher le plus possible de ce texte, l'un des plus beaux du patrimoine littéraire, en me soumettant à la nécessité de le lire et relire, puis d'écrire des mots, des expressions, des phrases dignes de le représenter, de se substituer à lui.
J'ai voulu faire lire ce dialogue, en considérant qu'il s'adressait au public le plus large, qu'il n'était pas d'abord une œuvre de philosophie, puisque justement la philosophie, dans ce texte, doit faire valoir son utilité, se distinguer de ses contrefaçons ou de ses formes dégradées, chercher sa définition, mais que c'était un livre par lequel un esprit exceptionnel a cherché à capter l'attention, à stimuler l'imagination, à faire penser. Faire penser qui ? Un lecteur indéterminé, et non un philosophe professionnel.»
Pierre Pachet.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 3689 184 PLA Livre CDI Lycée Maurice Delafosse Essais Disponible