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Effroyables jardins / Michel QUINT
Titre : Effroyables jardins Type de document : texte imprimé Auteurs : Michel QUINT, Auteur Editeur : FOLIO Importance : 74 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-031349-5 Langues : Français (fre) Mots-clés : roman historique roman historique biographie fiction histoire procès clown adapté au cinéma résistance souvenirs guerre seconde guerre mondiale relation père-fils france littérature francophone littérature française 21ème siècle contemporain 20ème siècle Index. décimale : 860 Littérature espagnole et portugaise Résumé : Quelle est la différence entre un clown et un assassin ? Tous deux sont des personnages-clés des romans de Michel Quint. Mais, alors que le dernier traverse tous les romans policiers de l'écrivain, le premier n'apparaît que dans le petit phénomène qui lui sert de dernier roman : Effroyables jardins. Curieuse petite prose en vérité que ces soixante pages à peine, véritable coqueluche des critiques de tous bords, depuis sa parution ! Mais que signifie à la fin le nez rouge, comme abandonné, oublié sur la couverture ? Il est d'abord l'absence, ou le dévoilement trop tardif d'un père dont il a connu l'histoire trop tard, trop tard pour découvrir quel héros était ce père, ce qui lui aurait évité les sarcasmes méprisants du "morveux" qu'il était alors. Du mépris, il en avait aussi, et à revendre, pour l'oncle Gaston et la Nicole, sa petite femme potelée. Mais voilà qu'un jour, tous sur leur trente et un, ils sont allés ensemble au cinéma, comme on va à la messe. Et dans le générique, un nom allemand est apparu, et tous ont été parcourus par un frisson que l'auteur, adolescent, ne pouvait pas comprendre. Pas encore. Il a fallu attendre la fin du film, et que Gaston s'installe devant une bière, au café d'en face, pour lui rapporter toute l'histoire. Celle qui a fait de son père, d'un simple instituteur qui faisait aussi le clown le dimanche, pour arrondir (tous) les mois difficiles, un résistant. Un résistant - avec son nez rouge - à toutes les indignités de la guerre et à toutes les mascarades, à toutes les pitoyables pitreries d'après-guerre, où les accusés finissent par apparaître comme les véritables augustes aux cheveux rouges. Note de contenu : "Certains témoins mentionnent qu'aux derniers jours du procès de Maurice Papon, la police a empêché un clown de rentrer dans la salle d'audience. Il semble que ce même jour, il ait attendu la sortie de l'accusé et l'ait simplement considéré à distance sans chercher à lui adresser la parole. L'ancien secrétaire général de la préfecture a peut-être remarqué ce clown mais rien n'est moins sûr. Par la suite l'homme est revenu régulièrement sans son déguisement à la fin des audiences et aux plaidoiries. A chaque fois il posait sur ses genoux une mallette dont il caressait le cuir tout éraflé. Un huissier se souvient de l'avoir entendu dire après que le verdict fut tombé :
- Sans Vérité, comment peut-on avoir de l'espoir ?"
L'auteur dédie ce court texte lumineux, émouvant et métaphorique à la mémoire de son grand-père, ancien combattant à Verdun et à son père ancien résistant.Effroyables jardins [texte imprimé] / Michel QUINT, Auteur . - FRANCE : FOLIO, [s.d.] . - 74 pages.
ISBN : 978-2-07-031349-5
Langues : Français (fre)
Mots-clés : roman historique roman historique biographie fiction histoire procès clown adapté au cinéma résistance souvenirs guerre seconde guerre mondiale relation père-fils france littérature francophone littérature française 21ème siècle contemporain 20ème siècle Index. décimale : 860 Littérature espagnole et portugaise Résumé : Quelle est la différence entre un clown et un assassin ? Tous deux sont des personnages-clés des romans de Michel Quint. Mais, alors que le dernier traverse tous les romans policiers de l'écrivain, le premier n'apparaît que dans le petit phénomène qui lui sert de dernier roman : Effroyables jardins. Curieuse petite prose en vérité que ces soixante pages à peine, véritable coqueluche des critiques de tous bords, depuis sa parution ! Mais que signifie à la fin le nez rouge, comme abandonné, oublié sur la couverture ? Il est d'abord l'absence, ou le dévoilement trop tardif d'un père dont il a connu l'histoire trop tard, trop tard pour découvrir quel héros était ce père, ce qui lui aurait évité les sarcasmes méprisants du "morveux" qu'il était alors. Du mépris, il en avait aussi, et à revendre, pour l'oncle Gaston et la Nicole, sa petite femme potelée. Mais voilà qu'un jour, tous sur leur trente et un, ils sont allés ensemble au cinéma, comme on va à la messe. Et dans le générique, un nom allemand est apparu, et tous ont été parcourus par un frisson que l'auteur, adolescent, ne pouvait pas comprendre. Pas encore. Il a fallu attendre la fin du film, et que Gaston s'installe devant une bière, au café d'en face, pour lui rapporter toute l'histoire. Celle qui a fait de son père, d'un simple instituteur qui faisait aussi le clown le dimanche, pour arrondir (tous) les mois difficiles, un résistant. Un résistant - avec son nez rouge - à toutes les indignités de la guerre et à toutes les mascarades, à toutes les pitoyables pitreries d'après-guerre, où les accusés finissent par apparaître comme les véritables augustes aux cheveux rouges. Note de contenu : "Certains témoins mentionnent qu'aux derniers jours du procès de Maurice Papon, la police a empêché un clown de rentrer dans la salle d'audience. Il semble que ce même jour, il ait attendu la sortie de l'accusé et l'ait simplement considéré à distance sans chercher à lui adresser la parole. L'ancien secrétaire général de la préfecture a peut-être remarqué ce clown mais rien n'est moins sûr. Par la suite l'homme est revenu régulièrement sans son déguisement à la fin des audiences et aux plaidoiries. A chaque fois il posait sur ses genoux une mallette dont il caressait le cuir tout éraflé. Un huissier se souvient de l'avoir entendu dire après que le verdict fut tombé :
- Sans Vérité, comment peut-on avoir de l'espoir ?"
L'auteur dédie ce court texte lumineux, émouvant et métaphorique à la mémoire de son grand-père, ancien combattant à Verdun et à son père ancien résistant.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1803 860 QUI Livre CDI Lycée Maurice Delafosse Roman Disponible 1804 860 QUI Livre CDI Lycée Maurice Delafosse Roman Disponible 1805 860 QUI Livre CDI Lycée Maurice Delafosse Roman Disponible 1806 860 QUI Livre CDI Lycée Maurice Delafosse Roman Disponible 1807 860 QUI Livre CDI Lycée Maurice Delafosse Roman Disponible Je t'ai donné mon cœur / Mary HIGGINS CLARK
Titre : Je t'ai donné mon cœur Type de document : texte imprimé Auteurs : Mary HIGGINS CLARK, Auteur Editeur : ALBIN MICHEL Importance : 415 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-286-05820-3 Langues : Français (fre) Catégories : Fiction:Policier et polar Mots-clés : récits roman témoignage suspense thriller romans policiers et polars angoisse procès enquêtes politique amour médias meurtre crime tueur en série états-unis littérature américaine américain thriller américain. Index. décimale : 810 Littérature américaine Résumé : Le hasard fait bien mal les choses. La Comédienne Natalie Raines, une des reines de Broadway, est assassinée alors qu'elle s'apprêtait à divorcer de Gregg Aldrich, qui était aussi son agent. Un suspect idéal pour la police et la perspective d'un procès retentissant pour la presse.
Emily Wallace, substitut du procureur, n'a jamais connu une affaire d'une telle ampleur : pour la première fois de sa vie, la voici exposée aux feux des médias. Consciente qu'ils n'hésiteront pas à fouiller dans sa vie privée, à révéler peut-être qu'elle a subi une transplantation Cardiaque, la jeune femme se plonge pourtant avec passion dans le dossier.
Sans deviner de quelle façon elle y est impliquée. Sans se douter que, maintenant, sa propre vie est en danger…
Quand elle explore les méandres secrets de l'âme et du cœur humain, la reine du suspense atteint toujours les sommets de l'angoisse : son nouveau roman est tout simplement envoûtant !
Je t'ai donné mon cœur [texte imprimé] / Mary HIGGINS CLARK, Auteur . - FRANCE : ALBIN MICHEL, [s.d.] . - 415 pages.
ISBN : 978-2-286-05820-3
Langues : Français (fre)
Catégories : Fiction:Policier et polar Mots-clés : récits roman témoignage suspense thriller romans policiers et polars angoisse procès enquêtes politique amour médias meurtre crime tueur en série états-unis littérature américaine américain thriller américain. Index. décimale : 810 Littérature américaine Résumé : Le hasard fait bien mal les choses. La Comédienne Natalie Raines, une des reines de Broadway, est assassinée alors qu'elle s'apprêtait à divorcer de Gregg Aldrich, qui était aussi son agent. Un suspect idéal pour la police et la perspective d'un procès retentissant pour la presse.
Emily Wallace, substitut du procureur, n'a jamais connu une affaire d'une telle ampleur : pour la première fois de sa vie, la voici exposée aux feux des médias. Consciente qu'ils n'hésiteront pas à fouiller dans sa vie privée, à révéler peut-être qu'elle a subi une transplantation Cardiaque, la jeune femme se plonge pourtant avec passion dans le dossier.
Sans deviner de quelle façon elle y est impliquée. Sans se douter que, maintenant, sa propre vie est en danger…
Quand elle explore les méandres secrets de l'âme et du cœur humain, la reine du suspense atteint toujours les sommets de l'angoisse : son nouveau roman est tout simplement envoûtant !
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5933 810 HIG Livre CDI Lycée Maurice Delafosse Roman Disponible L'Etranger / Albert CAMUS
Titre : L'Etranger Type de document : texte imprimé Auteurs : Albert CAMUS (1913 - 1960), Auteur Editeur : GALLIMARD Collection : l'oeuvre au clair Importance : 184 pages ISBN/ISSN/EAN : 978-2-07-036002-4 Langues : Français (fre) Catégories : Fiction:Jeunesse:Art et culture:Litt?rature:Roman Mots-clés : Roman classique procès prix Nobel peine de mort indifférence justice deuil mort prisons drame absurde existentialisme philosophie meurtre France littérature française Algérie 20ème siècle - Index. décimale : 840 Littérature française Résumé : Condamné à mort, Meursault. Sur une plage algérienne, il a tué un Arabe. À cause du soleil, dira-t-il, parce qu'il faisait chaud. On n'en tirera rien d'autre. Rien ne le fera plus réagir : ni l'annonce de sa condamnation, ni la mort de sa mère, ni les paroles du prêtre avant la fin.
Comme si, sur cette plage, il avait soudain eu la révélation de l'universelle équivalence du tout et du rien.
La conscience de n'être sur la terre qu'en sursis, d'une mort qui, quoi qu'il arrive, arrivera, sans espoir de salut. Et comment être autre chose qu'indifférent à tout après ça ?
Étranger sur la terre, étranger à lui-même, Meursault le bien nommé pose les questions qui deviendront un leitmotiv dans l’œuvre de Camus.
De La Peste à La Chute, mais aussi dans ses pièces et dans ses essais, celui qui allait devenir Prix Nobel de littérature en 1957 ne cessera de s'interroger sur le sens de l'existence. Sa violente en 1960 contribua quelque peu à rendre mythique ce maître à penser de toute une génération.L'Etranger [texte imprimé] / Albert CAMUS (1913 - 1960), Auteur . - [S.l.] : BORDAS, [s.d.] . - 184 pages. - (l'oeuvre au clair) .
ISBN : 978-2-07-036002-4
Langues : Français (fre)
Catégories : Fiction:Jeunesse:Art et culture:Litt?rature:Roman Mots-clés : Roman classique procès prix Nobel peine de mort indifférence justice deuil mort prisons drame absurde existentialisme philosophie meurtre France littérature française Algérie 20ème siècle - Index. décimale : 840 Littérature française Résumé : Condamné à mort, Meursault. Sur une plage algérienne, il a tué un Arabe. À cause du soleil, dira-t-il, parce qu'il faisait chaud. On n'en tirera rien d'autre. Rien ne le fera plus réagir : ni l'annonce de sa condamnation, ni la mort de sa mère, ni les paroles du prêtre avant la fin.
Comme si, sur cette plage, il avait soudain eu la révélation de l'universelle équivalence du tout et du rien.
La conscience de n'être sur la terre qu'en sursis, d'une mort qui, quoi qu'il arrive, arrivera, sans espoir de salut. Et comment être autre chose qu'indifférent à tout après ça ?
Étranger sur la terre, étranger à lui-même, Meursault le bien nommé pose les questions qui deviendront un leitmotiv dans l’œuvre de Camus.
De La Peste à La Chute, mais aussi dans ses pièces et dans ses essais, celui qui allait devenir Prix Nobel de littérature en 1957 ne cessera de s'interroger sur le sens de l'existence. Sa violente en 1960 contribua quelque peu à rendre mythique ce maître à penser de toute une génération.Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 5979 840 CAM Livre CDI Lycée Maurice Delafosse Roman Sorti jusqu'au 08/03/2024