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La femme porte l'Afrique / Idriss DIABATE
Titre : La femme porte l'Afrique Type de document : document multimédia Auteurs : Idriss DIABATE, Auteur Importance : Durée 52 min Langues : Français (fre) Résumé : La scène se passe au sud du Burkina Faso, et au nord, au centre et à l'Ouest de la Côte d'Ivoire. Cinq femmes sont présentées avec leur fardeau quotidien dont on peut aisément soupeser le poids. À travers elles, c'est la femme tout court qui est campée croulant sous le poids de l'Afrique. Ce film aurait pu s'intituler aussi le "CRI". Le cri de détresse des femmes, et elles sont légion, dont l'auteur espère se faire l'écho dans les cœurs, mêmes les plus insensibles, grâce à la magie de l'image filmique. En choisissant de présenter le quotidien de cinq femmes, Monsieur Idriss DIABATE, qui avait promis la vérité, rien que la vérité, n'avait pas mesuré le danger qui le guettait. N'est-ce pas qu'avec les femmes la tentation est toujours grande ? Il y a succombé et nous a offert en fin de compte la beauté. La femme porte l'Afrique [document multimédia] / Idriss DIABATE, Auteur . - [s.d.] . - Durée 52 min.
Langues : Français (fre)
Résumé : La scène se passe au sud du Burkina Faso, et au nord, au centre et à l'Ouest de la Côte d'Ivoire. Cinq femmes sont présentées avec leur fardeau quotidien dont on peut aisément soupeser le poids. À travers elles, c'est la femme tout court qui est campée croulant sous le poids de l'Afrique. Ce film aurait pu s'intituler aussi le "CRI". Le cri de détresse des femmes, et elles sont légion, dont l'auteur espère se faire l'écho dans les cœurs, mêmes les plus insensibles, grâce à la magie de l'image filmique. En choisissant de présenter le quotidien de cinq femmes, Monsieur Idriss DIABATE, qui avait promis la vérité, rien que la vérité, n'avait pas mesuré le danger qui le guettait. N'est-ce pas qu'avec les femmes la tentation est toujours grande ? Il y a succombé et nous a offert en fin de compte la beauté. Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1847 DVD25 DVD CDI Lycée Maurice Delafosse Multimédia Disponible Murmure dans la forêt / Idriss DIABATE
Titre : Murmure dans la forêt Type de document : document multimédia Auteurs : Idriss DIABATE, Auteur Importance : Durée 60 mn Langues : Français (fre) Résumé : Dans un film documentaire de 60 minutes, à voir ce vendredi 5 avril, au Goethe institut d’Abidjan, le réalisateur Idriss Diabaté présente « Murmure dans la forêt ». Il s’agit du portrait d’Adépo Yapo considéré comme l’un des maîtres joueurs du « dôdô ». Reconnu comme l’un des plus anciens instruments de musique en Afrique, le « dôdô » a été pratiqué par le Pr. Zadi Zaourou.
« Murmure dans la forêt » est le résultat de plusieurs années de tournage, note le réalisateur. Dans ce documentaire, Idriss Diabaté présente le portrait vivant d’un musicien à écouter et à voir sur scène.
« Ce documentaire introduit le spectateur dans une fascinante pratique musicale. Parce que Adépo Yapo considère que la musique participe tout à la fois à la danse, au chant ou à la prière », indique M. Diabaté.
Dans son film, il fait le parallèle entre le raffinement des sons produits par ces instruments fabriqués avec des matériaux rudimentaires (bois, liane, clous, calebasse...) et ceux dits modernes.
Il retrace également les rencontres musicales d’Adépo Yapo avec d'autres musiciens comme Aly Keïta (xylophone balafon), N'guessan Alexandre (xylophone djomolo), Pierre Akendengué (guitare et Sosso Moryko ‘’cora’’).Murmure dans la forêt [document multimédia] / Idriss DIABATE, Auteur . - [s.d.] . - Durée 60 mn.
Langues : Français (fre)
Résumé : Dans un film documentaire de 60 minutes, à voir ce vendredi 5 avril, au Goethe institut d’Abidjan, le réalisateur Idriss Diabaté présente « Murmure dans la forêt ». Il s’agit du portrait d’Adépo Yapo considéré comme l’un des maîtres joueurs du « dôdô ». Reconnu comme l’un des plus anciens instruments de musique en Afrique, le « dôdô » a été pratiqué par le Pr. Zadi Zaourou.
« Murmure dans la forêt » est le résultat de plusieurs années de tournage, note le réalisateur. Dans ce documentaire, Idriss Diabaté présente le portrait vivant d’un musicien à écouter et à voir sur scène.
« Ce documentaire introduit le spectateur dans une fascinante pratique musicale. Parce que Adépo Yapo considère que la musique participe tout à la fois à la danse, au chant ou à la prière », indique M. Diabaté.
Dans son film, il fait le parallèle entre le raffinement des sons produits par ces instruments fabriqués avec des matériaux rudimentaires (bois, liane, clous, calebasse...) et ceux dits modernes.
Il retrace également les rencontres musicales d’Adépo Yapo avec d'autres musiciens comme Aly Keïta (xylophone balafon), N'guessan Alexandre (xylophone djomolo), Pierre Akendengué (guitare et Sosso Moryko ‘’cora’’).Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1837 DVD DVD CDI Lycée Maurice Delafosse Multimédia Disponible Senekelaw ka kuma / Idriss DIABATE
Titre : Senekelaw ka kuma Autre titre : Paroles de paysans Type de document : document multimédia Auteurs : Idriss DIABATE, Auteur Importance : Durée 60 mn Langues : Français (fre) Catégories : Techniques
Zones g?ographiquesRésumé : janvier 2006, à Sikasso, au Mali, se déroule l'ECID (Espace Citoyen d'Interpellation Démocratique).
Sous cette dénomination se cache un jury citoyen qui a pour objectif d'informer afin de prendre une décision essentielle. De quelle décision s'agit-il ? Rien moins que d'introduire ou non les OGM (organismes génétiquement modifiées) dans la région de Sikasso.
Rappelons que les semences issues des OGM sont des semences composées de gènes d'espèces différentes.
Ce documentaire retrace les débats à pied d'égalité entre paysans et chercheurs, entre partisans et pourfendeurs des OGM.
L'expression est libre et les producteurs agricoles s'approprient le sujet. Pour certains, la dépendance alimentaire de l'Afrique peut être résolue par les OGM, pour d'autres c'est avant tout un problème politique.
Les agriculteurs s'interrogent, argumentent : "Augmenter notre production de coton avec les OGM, mais à quoi bon puisqu'on n'arrive déjà pas à vendre notre production actuelle".
Le dernier mot appartient aux 45 paysans réunis et ils sont unanimes : non aux OGM, oui aux semences locales, car les OGM détruisent l'environnement, les relations humaines, la santé.
La dimension socio-culturelle pèse d'un poids considérable dans la décision : la terre appartient à tout le monde, on ne peut individuellement modifier la terre.
A cela s'ajoute la ferme volonté de ne pas devenir l'esclave des multinationales qui fournissent les semences issues des OGM.
Belle leçon de démocratie ! Quand le rapport de force est équilibré, comme cela fut le cas durant ces journées, entre paysans et chercheurs, le bons sens l'emporte.
Un documentaire à méditer !Senekelaw ka kuma ; Paroles de paysans [document multimédia] / Idriss DIABATE, Auteur . - [s.d.] . - Durée 60 mn.
Langues : Français (fre)
Catégories : Techniques
Zones g?ographiquesRésumé : janvier 2006, à Sikasso, au Mali, se déroule l'ECID (Espace Citoyen d'Interpellation Démocratique).
Sous cette dénomination se cache un jury citoyen qui a pour objectif d'informer afin de prendre une décision essentielle. De quelle décision s'agit-il ? Rien moins que d'introduire ou non les OGM (organismes génétiquement modifiées) dans la région de Sikasso.
Rappelons que les semences issues des OGM sont des semences composées de gènes d'espèces différentes.
Ce documentaire retrace les débats à pied d'égalité entre paysans et chercheurs, entre partisans et pourfendeurs des OGM.
L'expression est libre et les producteurs agricoles s'approprient le sujet. Pour certains, la dépendance alimentaire de l'Afrique peut être résolue par les OGM, pour d'autres c'est avant tout un problème politique.
Les agriculteurs s'interrogent, argumentent : "Augmenter notre production de coton avec les OGM, mais à quoi bon puisqu'on n'arrive déjà pas à vendre notre production actuelle".
Le dernier mot appartient aux 45 paysans réunis et ils sont unanimes : non aux OGM, oui aux semences locales, car les OGM détruisent l'environnement, les relations humaines, la santé.
La dimension socio-culturelle pèse d'un poids considérable dans la décision : la terre appartient à tout le monde, on ne peut individuellement modifier la terre.
A cela s'ajoute la ferme volonté de ne pas devenir l'esclave des multinationales qui fournissent les semences issues des OGM.
Belle leçon de démocratie ! Quand le rapport de force est équilibré, comme cela fut le cas durant ces journées, entre paysans et chercheurs, le bons sens l'emporte.
Un documentaire à méditer !Réservation
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Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 1848 DVD DVD CDI Lycée Maurice Delafosse Multimédia Disponible