Titre : |
Les écureuils de central Park sont tristes le lundi |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Catherine PANCOL, Auteur |
Editeur : |
ALBIN MICHEL |
ISBN/ISSN/EAN : |
978-2-286-06561-4 |
Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
Fiction:Roman
|
Mots-clés : |
saga serie roman saga familiale chick lit amitié histoires de vie tranches de vie femmes société humour romance amour famille adolescence france littérature française 21ème siècle contemporain roman contemporain |
Index. décimale : |
843 Littérature Française : fiction |
Résumé : |
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails.
Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue…
Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi… |
Les écureuils de central Park sont tristes le lundi [texte imprimé] / Catherine PANCOL, Auteur . - FRANCE : ALBIN MICHEL, [s.d.]. ISBN : 978-2-286-06561-4 Langues : Français ( fre)
Catégories : |
Fiction:Roman
|
Mots-clés : |
saga serie roman saga familiale chick lit amitié histoires de vie tranches de vie femmes société humour romance amour famille adolescence france littérature française 21ème siècle contemporain roman contemporain |
Index. décimale : |
843 Littérature Française : fiction |
Résumé : |
Souvent la vie s’amuse.
Elle nous offre un diamant, caché sous un ticket de métro ou le tombé d’un rideau. Embusqué dans un mot, un regard, un sourire un peu nigaud.
Il faut faire attention aux détails. Ils sèment notre vie de petits cailloux et nous guident.
Les gens brutaux, les gens pressés, ceux qui portent des gants de boxe ou font gicler le gravier, ignorent les détails.
Ils veulent du lourd, de l’imposant, du clinquant, ils ne veulent pas perdre une minute à se baisser pour un sou, une paille, la main d’un homme tremblant.
Mais si on se penche, si on arrête le temps, on découvre des diamants dans une main tendue…
Et la vie n’est plus jamais triste. Ni le samedi, ni le dimanche, ni le lundi… |
| |